Michel Tyszblat
« Bird's nest »
Série « L'île au jazz »
Huile sur toile – 2011 - 89 x 116 cm
Signature en bas à droite – Signature et titre au dos
Provenance : atelier de l'artiste
Séries « L'île au jazz »
Oil on canvas – 2011 – 89 x 116 cm
Signed lower right – Signature and title on the reverse
Origin : artist's studio
Référencée dans un ouvrage à compte d'auteur présentant les œuvres de « l'île au jazz » sur des textes et une préface de Marc Albert-Levin.
Référencée dans le catalogue édité par la Villa Tamaris à l'occasion l'exposition « Jazz » en 2012.
Référencée dans le catalogue numérique édité par Galerie Anna-Tschopp à l'occasion de l'exposition « Jazz at Anna-Tschopp’s » en 2012.
Referenced in an author's book presenting "Island Jazz"'s works with texts and a preface by Marc Albert-Levin.
Referenced in the catalog published by Villa Tamaris on the occasion of the exhibition "Jazz" in 2012.
Referenced in the digital catalog published by Galerie Anna-Tschopp on the occasion of the exhibition "Jazz at Anna-Tschopp's" in 2012.
Référencement interne : "Jazz at Anna-Tschopp" de 2012
Informations connexes :
Autres vues :
Le mot du marchand
à propos de la série : la série « Jazz » est un aboutissement particulièrement marquant du travail de Michel Tyszblat. A la différence de nombreux artistes ayant pris appui sur la musique pour contruire leur œuvre, celui-ci est non seulement un excellent peintre mais en plus un musicien de talent. Ce qui lui permet de dépasser l’habituel référent au musicien ou à l’instrument au profit de l’histoire même d’une composition musicale tant au niveau de ses diverses interprétations, que de sa structure musicale propre. Les « morceaux » (dé)peints dans son style si personnel sont issus de ce que l’on nomme dans le jargon du jazz un « standard », c’est-à-dire une composition dont la structure mélodique relativement facile permet à un soliste un développement improvisé à la complexité variable. Tous les musiciens aiment se mesurer à un « standard », voire se défier par son truchement, sa simplicité même constituant un tremplin pour l’imagination. L’auditeur en est lui aussi généralement friand car à partir de cet énoncé mélodique connu il peut immédiatement prendre acte de la qualité et de l’inventivité des développements donnés par les uns ou les autres. On voit donc ici que le projet de Michel Tyszblat hausse nettement le ton par rapport à une multitude de peintres « jazzy » dont le lien principal au genre est d’y représenter un saxophone, un piano ou une double croche. Il est évident ici que se déclarer amateur parce que l’on connaît Louis Armstrong est un peu court si on souhaite décortique les toiles et les dessins de Michel Tyszblat. Heureusement, comme pour le jazz, il n’est point nécessaire d’être spécialiste pour les apprécier. Il suffit de se laisser entraîner par le rythme, la couleur, la musicalité de chaque œuvre. Si on aime le jazz et la peinture il est difficile de faire l’impasse sur cette série étonnante.
Word from the merchant
related to the series : the "Jazz" series is a particularly successful realization of Michel Tyszblat's work. Unlike many artists who have relied on music to build their work, he is not only an excellent painter but also a talented musician. This allows him to go beyond the usual reference to musicians or instruments, all to the benefit of the very story of a musical tune both in terms of its various interpretations, as its own musical structure. The "tunes" depicted (or unpainted) in his own personal style come from what is called in jazz jargon a "standard", that is to say a composition whose relatively easy melodic structure allows a soloist to improvise developments of varying complexity. All musicians like to measure themselves through a "standard", even to challenge each other by the means of this one, its very simplicity constituting a springboard for the imagination. The listener is also generally fond of it because from this known melodic statement he can immediately take note of the quality and inventiveness of the developments given by the ones or the others. So we can immediately see that the project of Michel Tyszblat significantly raises the level compared to a multitude of "jazzy" painters whose main link to the genre is to represent a saxophone, a piano or a semiquaver. It is obvious here that to declare oneself amateur because one knows Louis Armstrong is not very long if one wishes to dissect the paintings and the drawings of Michel Tyszblat. Fortunately, as for jazz, it is not necessary to be a specialist to appreciate them. Just let ourself be carried away by the rhythm, the color, the musicality of each work. For who likes jazz and painting it's hard to ignore this amazing series.
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